Avez-vous les moyens de résister aux patients qui refusent les génériques ?
Les patients qui ont besoin d'un traitement court acceptent-ils mieux les génériques que ceux atteints d'une pathologie chronique?
Connaissez-vous la définition de la bio-équivalence entre deux médicaments ?
Un terrain particulier (grand âge, difficultés de compréhension) vous conduit-il à indiquer « non substituable » ?